Les entreprises et associés « victimes »

Épisode 1
Épisode 2
Épisode 3
Épisode 1
Épisode 2
Épisode 3
Épisode 1
Épisode 2
Épisode 3

L’associé Voir le témoignage

Épisode 1
Épisode 2
Épisode 3

Les entreprises « victimes »

  • Un mail du Président de 4C Promotion, daté du 26 avril 2019, à l’un des artisans intervenant sur le chantier de Brumath
Extrait : « tu fais comme tu veux, mais si je livre pas, tout va partir en sucette »
  • Une attestation de l’entreprise chargée des aménagements extérieurs…
De M. Gangloff, gérant de la société TPA : « Ces prestations ont été commandées sous 4C Promotion, réalisées par nos soins. Ces prestations sont à ce jour toujours sans règlement de la part de la société 4C Promotion qui est à ce jour toujours débitrice de plusieurs factures, tant sur l’opération Les Jardins de Camille à Brumath que sur l’opération Le Jardin des Lys à Eckwersheim ».
  • Un témoignage de Loïc Laeuffer, spécialisé en électricité, chauffage et plomberie sur 2 chantiers
« On a dû bloquer le chantier… parce qu’on était en défaut de paiement d’une hauteur de 60 000 € ! »
Le Témoignage de Laeuffer - # 1
  • Une accusation plus grave, proférée par l’un des entrepreneurs :

Loïc Laeuffer : « Monsieur Ott s’est rendu sur le chantier le weekend avec sa remorque et a volé tout le matériel ! ». « Le matériel sanitaire, les équipements, les chaudières ont disparu lors d’un weekend ».

Le Témoignage de Laeuffer - # 2
  • Loïc Laeuffer décrit le train de vie apparent du promoteur…
Il s’étonne de voir Laurent Ott « roulant dans de beaux véhicules, pouvant partir en congés dans des endroits de rêve »…
Le Témoignage de LAeUFFER - # 3

L’associé « victime »

  • L’associé de Laurent Ott, Marc Pierre, décide finalement de « s’en séparer ». Son témoignage :
« Certaines entreprises ont fait l’écho de demandes de paiement différées pour manque de trésorerie » « M. Ott est venu me voir, m’exprimant ses difficultés de Trésorerie, en m’expliquant qu’il y avait un dépassement de coût de construction sur l’opération de Brumath, qui, dans le cas d’une gestion normale d’entreprise, aurait largement pu être supportée ».
  • Marc Pierre :« Il y a eu 70 000 € de dépassement de budget sur l’opération de promotion de Brumath ».

Puis, plus tard il ajoute : « M. Ott se versait un salaire assez conséquent : 7 500 € nets… »

  • Marc Pierre témoigne de l’attitude de son ex associé
« Lorsque vous lui dites non, M. Ott part dans des réactions violentes ! », et finit par évoquer « des actes commis contre sa famille » …

Marc Pierre évoque ensuite la publication, le concernant « d’un avis mensonger et diffamatoire » sur Google. Et une « usurpation d’identité » Et ajoute (en parlant de son ex-associé) : « Je serais très surpris que ça ne soit pas lui ».
  • Marc Pierre, associé, établit une « Attestation de témoin »

Un document officiel, destiné à être produit en justice, suite à la publication sur Google par Laurent Ott d’un avis sur son ex-associé : « Je soussigné Marc Pierre atteste avoir été « victime » d’un avis mensonger et diffamatoire ».

Le Témoignage de L’associé

Le comptable (2 fois) « victime »

  • Le comptable de 4C Promotion était également son client…
Nicolas Winling décrit lui-même dans une lettre : « une déception énorme », un « préjudice moral et financier », et ajoute : « j’ai toujours du mal à m’en remettre », « cette affaire nuit à ma vie personnelle et je rencontre également des soucis de santé ».

Retranscription vidéo Marc Pierre
Vidéo N°1
« 0.33 : Décembre 2018, j’ai pris la décision de me séparer de Laurent OTT puisque nos visions d’entreprises étaient diamétralement opposées et je lui ai donc annoncé en janvier 2019 mon souhait de me séparer. C’était sous mon impulsion donc je lui ai laissé le choix : entre me vendre ses parts de 4C Promotion ou de me racheter les miennes.
– Vous étiez diamétralement opposé sur quoi ?
– Sur la vision de développement de l’entreprise puisque j’avais moi la volonté de développer une société de promotion qui allait s’étalonner entre 50,60,80 logements par an, lui deux opérations bien menées on l’asséchait niveau financier et puis ça lui faisait un revenu complémentaire par rapport à son activité principale et de longue date qui est la transaction immobilière.
À partir de là, nos avocats ont écrit le protocole d’accord, j’ai quitté physiquement l’entreprise le 28 février 2018.

1.37 :  Je n’avais plus accès aux comptes bancaires, en tout cas, de vues sur les comptes bancaires puisque je n’ai jamais eu les codes de saisies des virements d’opération.
Les virements étaient la partie de Monsieur OTT, je m’occupais de la partie suivi des travaux et de la partie commerciale des opérations donc je sais combien il y avait sur les comptes au 1er mars, après, je n’avais effectivement plus de visibilité sur les comptes.

J’avais pris comme engagement dans notre protocole de séparation de l’accompagner jusqu’en décembre 2018 pour la conduite des travaux et j’assistais donc à toutes les réunions chantiers.

En août 2018 pendant l’absence de Monsieur OTT pour congés, certaines entreprises ont commencé à se faire l’écho de demandes de paiement différés pour manque de trésorerie. À son retour j’ai demandé à Laurent de le voir en lui exprimant mon inquiétude qui n’était qu’une inquiétude vis-à-vis de mes clients puisque moi j’avais effectivement quitté l’entreprise. Et il m’a dit « non tout va bien ».

Je lui ai demandé s’il savait combien de trésorerie allait encore rentrer puisqu’il y avait des appels de fonds, il était quasiment sur les fins d’appels de fonds et surtout ce qui lui restait à payer.
Sa réponse était : « non non ne t’inquiète pas, il n’y a aucune inquiétude, j’ai vu notre expert-comptable qui m’a même dit de me sortir des dividendes en juin 2018 ! »

3.02 À partir du moment ou moi, un chef d’entreprise me dit que tout va bien, tout va bien.
Puis en janvier 2019, Monsieur OTT est venu me voir m’exprimant ses difficultés de trésorerie, m’expliquant qu’il y avait un dépassement de coûts de construction sur l’opération de Brumath.

Coûts de construction qui, dans le cas d’une gestion normale d’entreprise aurait largement pu être supporté par les bénéfices générés par les deux opérations.
Je l’ai même accompagné chez l’avocat pour mettre en place cette procédure vis-à-vis de son maître d’œuvre et après tout s’est accéléré.
Nous sommes fâchés et toutes les relations ont été coupées à partir du mois d’avril. »

Vidéo N° 2
« 0.42 :Les erreurs ça a été effectivement un train de vie supporté par une société qui n’a pas engagé d’autres opérations, c’est-à-dire qu’à un moment donné, les opérations portées par Elliance Habitat aujourd’hui ce sont des opérations qui auraient dû être portées par 4C Promotion puisqu’au moment de notre séparation moi je suis partie avec les nouveaux projets. Dans cette configuration l’entreprise aurait pu supporter des frais de fonctionnement, mais quand vous n’avez plus d’opération à mener, il n’y a plus d’honoraires à facturer, il n’y a plus de bénéfice ou de remontée de marge d’opération, donc à un moment donné la trésorerie s’assèche assez rapidement.
1.28 Certains éléments font dire qu’ils ont financé un séminaire au mois de mars, le maintien dans un poste de salarié d’entreprise de son épouse, puisqu’au moment de la séparation, son épouse devait sortir de la structure en mars 2018, j’ai appris par la suite qu’il l’avait licenciée en décembre 2018 et après ça va vite, il n’y avait que deux opérations, il y avait un bénéfice qui était connu, qui a été dégradé par les 70 000 € de dépassement de l’opération de Brumath… Il y a de l’impôt sur la société à payer, il y a des charges, il y a un salaire assez conséquent qu’il se versait majoré des charges enfin voilà…
2,24 : – Le salaire, il se versait combien ?
– 7 500€ nets
– Et son épouse combien ?
– Au smic !
Lorsque je l’ai vu à son retour de congés au mois d’août et après avoir été alerté par certaines entreprises je lui ai demandé s’il avait une certaine inquiétude il m’a répondu que non tout allait bien puisque son expert-comptable lui avait dit de se verser des dividendes en juin 2018 à hauteur de 90 000 €. »

Vidéo N°3
0.38 : Suite à la fin de nos relations en mars 2019 est apparu un avis mensonger et diffamatoire sur Google avec une usurpation d’identité, donc là de mon côté j’ai fait constater par huissier, j’ai lancé une procédure contre Google France et Google États-Unis pour avoir une levée d’anonymat.

1.10 : Je connais parfaitement sa syntaxe et sa façon d’écrire les choses et de dire les choses donc je serais très surpris que ce ne soit pas lui.

1.18 : Ma relation avec Laurent OTT s’est arrêtée parce que la première des raisons et que nous étions diamétralement opposés sur les visions d’entreprise, parce que je ne voulais plus effectivement être le seul à assumer la charge de travail et financer son salaire et celui de son épouse parce que son attitude extérieure ne correspondait pas à l’image que je voulais de l’entreprise.

1.52 : Une fois que je lui ai annoncé que je voulais partir et sa réaction violente et brutale très vite s’est apaisée, donc une fois que le protocole d’accord a été signé on a retrouvé des relations qui étaient apaisées, jusqu’au jour où j’ai cessé de l’accompagner puisque j’ai assumé et assuré un accompagnement de 4C Promotion sur la partie travaux jusqu’en décembre 2018 qui était de toute façon consigné dans le protocole de séparation.
Pourquoi les relations se sont dégradées ? Tout simplement parce que c’est quelqu’un qui, lorsque vous lui dites non, part dans des réactions violentes.
Je n’ai pas envie de m’étendre sur certains de ses actes vis-à-vis de ma famille, mais c’est ça qui moi m’a décidé de mettre un coup d’arrêt à nos relations.